Association Génération IRTS Réunion

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Journée portes ouvertes IRTS

Portes ouvertes à l'IRTS : les métiers du social recrutent
 

Samedi, de 9h à 16h, l’IRTS présentera ses formations au public (photo C.R.).

 

 

Leur taux d’insertion professionnelle est de 75%, six mois après avoir obtenu leurs diplômes. Les étudiants de l’IRTS, à Saint-Benoît, ne connaissent pas la crise. Samedi, ils seront présents pour présenter les formations qu’ils ont suivies lors de la journée portes ouvertes de l’établissement. 2 000 personnes environ sont attendues, de 9h à 16h. "Les jeunes sont très intéressés par les métiers de la solidarité. C’est un secteur qui a encore besoin de professionnels même si les embauches étaient beaucoup plus faciles il y a quelques années", indique Monique Girier, directrice générale de l’IRTS. Actuellement, l’IRTS offre 14 formations conduisant à un diplôme d’Etat de travailleur social. Quatre autres formations labellisées (branche professionnelles) sont également présentes, en formation initiale. Nouveauté cette année ? L’accent mis sur la mobilité européenne et internationale. Des conférences sur cette thématique auront lieu de 9h15 à 15h. Monique Girier reprend : "Nous avons développé des partenariats avec Madagascar, l’Ile Maurice, la Belgique, la Suisse, le Québec... Des étudiants qui sont partis viendront témoigner de leurs expériences". Des conférences portant sur les évolutions des métiers liés à la dépendance auront également lieu de 9h30 à 13h45. Tout au long de la journée, le public pourra aller à la rencontre de professionnels du secteur présents sur les différents stands. Des animations (saynètes, spectacles, danses, jeux et danse en anglais et shimaoré, diffusion de films...) seront organisées toute la journée. Cette journée portes ouvertes sera également l’occasion d’évoquer le problème de la gratification des stages. Agir (Association Génération IRTS Réunion), avec le soutien de l’IRTS et de l’Unifed (fédérations et syndicats d’employeurs du secteur) organisera un débat sur le sujet à 10h. Eddy Couillaud, président de l’Agir, souligne : "En soi, la gratification, c’est du positif pour les étudiants. Mais, le problème, c’est que les stages gratifiés sont difficiles à trouver. Et sans stage, nous ne pouvons pas valider notre formation"

 

C.R.

 

 

clicanoo

  • Clicanoo.re
  • publié le 21 octobre 2011
  • 06h52


23/10/2011

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